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                                                  Pasteur Gérard Sadot
 Messages apportés à l'Eglise Chrétienne Evangélique de 84170 Monteux (Carpentras)
 

  <-Liste des enseignements 

       

DIEU VOUS TEND LA PERCHE !

La Bible, livre des Nombres 21: 5/9

·         « 5 Le peuple s’impatienta en route, parla contre Dieu et contre Moïse: Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d’Égypte, pour que nous mourions dans le désert ? Car il n’y a point de pain et il n’y a point d’eau, et nous sommes dégoûtés de ce pain méprisable. 6 Alors l’Éternel envoya contre le peuple les serpents brûlants; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël. 7 Le peuple se rendit auprès de Moïse et dit: Nous avons péché, car nous avons parlé contre l’Éternel et contre toi. Prie l’Éternel, afin qu’il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple. 8 L’Éternel dit à Moïse: Fais-toi un serpent brûlant et place-le sur une perche; quiconque aura été mordu et le contemplera, conservera la vie. 9 Moïse fit un serpent de bronze, et le plaça sur la perche; et si quelqu’un avait été mordu par un serpent et REGARDAIT le serpent de bronze, il conservait la vie ». 

Crimes et châtiments…
En quoi consistait le péché d’Israël ?
 

-          Le peuple s’impatienta en route: nombre d’enfants de Dieu réagissent de la sorte quand ils ne reçoivent pas tout « ici et maintenant » (…). La mutinerie qui n’était qu’une question de minuterie n’était pas loin…

-          Il parla contre Dieu et Moïse: ils n’ont pas reconnu leur homme de Dieu, ni ne l’ont béni comme ils auraient dû le faire ! Et derrière la critique de Moïse, c’est Dieu qui était visé ! Faisons nous mêmes attention car nous pouvons avoir une propension à « parler contre ».

-          Pourquoi nous as tu fait sortir d’Egypte, pour mourir dans le désert ?! Parfois j’entends des chrétiens qui témoignent que Dieu les a sauvés, mais qui se plaignent de vivre une vie misérable, disant qu’avant leur conversion c’était bien mieux, et qui se révoltent, car maintenant… ils périssent. Le raisonnement du peuple était illogique.

-          Car il n’y a point d’eau ni de pain… Ils pensaient en termes de manque, et ça les rendait mécontents ! C’était vrai, mais cela ne devait durer seulement que pour un temps, alors que des provisions illimitées étaient déjà prêtes et disponibles: « quand une fenêtre se ferme, une porte s’ouvre… ».

-          Nous sommes dégoutés de ce pain misérable ! Ils ont commencé à mépriser la manne, le « pain du miracle », le surnaturel de Dieu; dans la nouvelle alliance, il nous est demandé de ne pas mépriser les prophéties ! Si l’Eglise rejette le surnaturel divin, il ne lui restera plus que les « serpents brûlants » de la psychologie dite chrétienne, du compromis avec l’œcuménisme, et même des pratiques occultes…

-          Alors l’Eternel envoya des serpents brûlants… « brûlants » dans le sens que leur venin génère une fièvre terrible. Ils ont cherché le bâton pour se faire battre, et la conséquence logique, c’est que Dieu qui les avait protégés depuis si longtemps ne pouvait plus retenir ces serpents. Que de dangers auxquels le Seigneur nous a fait échapper, sans que nous en ayons eu même conscience.

-          Ils mordirent le peuple et un grand nombre mourut ! Vous constatez avec moi les ravages et la tragédie que le péché entraîne ! Dès lors, l’Ennemi de nos âmes sous la forme de ces serpents a eu des droits sur eux, comme il en aura sur qui que ce soit qui est ingrat…

-          Nous avons péché car nous avons parlé contre… Enfin ils reconnaissent leur état et le péché ! Ils se repentent. Vous savez que l’on pèche beaucoup par nos lèvres !

-          Moïse pria pour le peuple… Tout un peuple a péché par ses lèvres: « nous avons parlé contre », mais un homme est allé chercher la guérison par ses lèvres « Moïse pria pour…», dans un très bel esprit de pardon, image magnifique de Jésus qui sur la croix a intercédé pour des coupables, et demandé au Père: « pardonne leur car ils ne savent ce qu’ils font » !

-          L’Éternel dit à Moïse: Fais-toi un serpent brûlant sur une perche; quiconque aura été mordu et le contemplera, conservera la vie. Certes le remède révélé à Moïse est étrange de prime abord, mais nous ne sommes pas là pour contester l’ordonnance du Divin Médecin !  

Je vous parlerai de trois grandes lignes dans ce récit : 

1) Le rachat de la mort sure !

2) La guérison de ce que le mal a dit !

3) La malédiction de la malédiction... 

RACHETE DE LA MORT… SURE !

Le Salut de votre âme ! 

·         « Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi il faut que le Fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (La Bible, Jean 3: 14/15).

Maintenant, qui que vous soyez, vous êtes précisément dans le même état que l’Israélite qui avait été mordu par les serpents brûlants. Le péché qui habite en vous est semblable à un venin inoculé dans vos veines ! On peut le comparer au nuage de Tchernobyl, personne ne l’a vu, surtout en France, mais bien des années plus tard, il y a explosion de cancers notamment là où il est passé, et le nier ne serait que mauvaise foi ! C’est ainsi que le « péché » agit… 

On ne joue pas avec le péché ! 

Un homme faisait son spectacle avec un python depuis des années… Mais un jour, qu’est-il arrivé à ce serpent… ? Il a entouré notre brave homme comme d’habitude, puis il a commencé à l’étouffer ! L’homme n’a pas pu se dégager, il est mort dans son spectacle sans que personne ne puisse le délivrer ! 

·         La Bible dit: « Le Salaire du Péché, c’est la mort ! ».  

Que vous le vouliez ou pas, c’est ainsi ! Pourquoi discuter de faits qui vous dépassent ?  Dieu a posé 84 questions à Job le propre juste, et vous savez quoi ? Il n’a pas pu répondre à une seule d’entres elles ! Job disait : « JE SAIS QUE J’AI RAISON ! » (cf. Job 13: 3/15/18). Avec force arguments, il voulait se justifier à tout prix, mais sa logique n’a rien changé à sa situation… Etre « cartésien », ainsi que tous vos raisonnements, ne vous permettra que de discutailler avec Dieu, de polémiquer, mais devant Dieu vous ne pourrez jamais répondre. Cela nous et vous dépasse de très très loin. Il s’agit de choses d’une autre nature, spirituelles !  

·        Job 42: 3: « Qui est celui qui assombrit mes desseins (par des propos) dénués de connaissance ? Oui, j’ai fait part, sans les comprendre, de merveilles qui me dépassent et que je ne connaissais pas ». 

Riche ou pauvre, jeune ou vieux, respecté ou méprisé: … Vous êtes pécheur !  

Vous avez au dedans de vous les effets de la morsure du péché et du serpent ancien, Satan, et ces effets sont: la mort. Le poison opère dans votre cœur, qui, comme le dit la Parole de Dieu est désespérément malin.  

Un serpent était caché dans une marmite !

En mai 1992, dans la ville algérienne de Maghniyya, 4 frères âgés de 8 à 15 ans périrent juste après avoir mangé la soupe du soir. Leur mère avait involontairement ramené à la maison un serpent venimeux caché dans les légumes rangés au réfrigérateur. Quand elle les prit, le serpent amateur de chaleur se glissa dans la marmite et y déchargea son venin...

 Il vous est impossible de vous guérir vous-même; vous ne pouvez, de quelque manière que ce soit, éviter la mort, qui est la conséquence du péché qui habite en vous. Toute la science des médecins ne peut l’éloigner; et, eussiez-vous toutes les richesses de la terre, vous ne pourriez l’engager à se tenir loin de vous. Même pendant que vous lisez ces paroles, vous vous avancez vers elle:

Le jour où tu vas mourir approche !

Deutéronome 31: 14

Quelqu’un dira: 

·         « OK ! Mais laissez-moi le temps de réfléchir ! Nous reverrons cela plus tard ! J’aurai tout le temps d’y penser le moment venu !».

Il est déjà tard sur l’horloge de ta vie ! Nul ne sait ni le jour ni l’heure de ton départ !

Ne soyez pas aussi optimiste !

·         En mai 1993, un homme nu courait sur le pont de Brooklyn, à New-York, en chantant: “Ah ! que la vie est belle !”. Il fut renversé par une voiture et tué sur le coup !

L’heure fatale !

·         En février 1991, Piera Rutelli, 40 ans roulait dans un tunnel non loin de Gênes (Italie). Une énorme stalactite de glace se décrocha du plafond du tunnel, traversa le toit de la voiture de Piera et le tua !

 

Fatalité & malchance...

·         En février 1983, une bourrasque précipita la voiture de Vittorio Luise dans une rivière des environs de Naples. Luise, 45 ans réussit à briser une vitre à s’extraire du véhicule et à revenir à la nage. Une fois sur la rive, un arbre s’abattit sur lui et le tua !

Et, personne ne sait qui sera le prochain !

·         En juillet 1982, à Blairsville (Géorgie), le pasteur Ray Hewett conclut l’enterrement de Liza Poteete, 91 ans par ces mots: « Nul ne peut savoir qui sera le prochain à s’en aller ». C’est alors que la foudre tomba sur Donald Metcalf, 27 ans, petits fils de la défunte !

Et pourquoi vous est-il ordonné, ainsi qu’à tous les hommes, de mourir une fois, si ce n’est parce que « tous ont péché ? » Tel est donc votre état ! Le poison du péché opère en vous, dans le silence peut-être, en secret, mais continuellement et avec efficace, et l’effet de cette opération, c’est la mort ! 

MAIS DIEU VOUS TEND UNE PERCHE ! 

Or, comme le serpent d’airain fut élevé sur une perche, afin que les pauvres Israélites mourants puissent fixer les yeux sur lui et ainsi être guéris, de même Jésus a été élevé sur le bois de la croix, afin que tout pécheur qui croit en Lui, ait la vie éternelle. L’Israélite n’avait autre chose à faire qu’à REGARDER; et vous, vous n’avez qu’à croire. Vous demanderez peut-être comment la simple foi en Jésus peut-elle me sauver de mes péchés ? Cela est-il possible ? Je ne le comprends pas ! Les Israélites auraient pu tenir le même langage. Ils auraient pu dire à Moïse :  

·         « Comment la vue de ce serpent d’airain peut-elle nous guérir de nos douloureuses plaies ? ».  

Mais quelle eût été la réponse du serviteur de Dieu ? 

Cessez de raisonner ! 

·         « Regardez seulement, croyez ma parole, ou plutôt la Parole de Dieu. Jetez seulement un faible regard sur ce serpent, un regard agonisant, et vous vivrez. Ah ! si vous sentez les douleurs de ce venin qui coule dans vos veines, si vous connaissez les terribles agonies de la mort qui est la suite de cette affreuse morsure, vous cesserez de raisonner. Vous croirez que ce que je vous dis est vrai, même parce que vous désirerez qu’il en soit ainsi, parce que vous voudrez être sauvé ».  

C’est ainsi qu’aurait parlé Moïse, et c’est de cette manière aussi que je voudrais vous répondre. Croyez seulement ce que Dieu dit:  

·         « Qui croit au Fils a la vie éternelle » (Jean 3: 36).  

Le Divin Médecin vous présente le remède 

Auriez vous l’audace de contester le diagnostique d’un spécialiste et de refuser de vous faire soigner, de prendre les remèdes et de suivre scrupuleusement l’ordonnance ? La demande qu’Il vous fait n’est-elle pas bien simple : — de croire et d’être sauvé ? Ce n’est pas ma parole que je vous dis, c’est celle de Dieu même. Ce n’est pas mon message de salut, c’est celui de Dieu. Il sait que vous ne pouvez vous sauver; Il sait que toutes vos prières, toutes vos larmes ne peuvent effacer un seul péché, et Il sait qu’à moins qu’ils ne soient tous lavés, tous pardonnés et effacés, vous ne pouvez échapper aux justes conséquences du péché, — la mort éternelle. Dieu, dans son insondable amour, fait donc dépendre le salut de l’homme de l’œuvre de Jésus, et non de ce que peut faire le pécheur, ou pour mieux dire, de ce qu’il ne peut pas faire. 

L’Antidote coule dans vos veines ! 

Le SANG DE JESUS est le seul antidote au péché qui coule comme un poison dans nos veines ! Regardez-Le sur cette croix ! Faites un petit détour vers Lui, échappez vous du quotidien, du qu’en dira-t-on ? Etc. Détournez vous vers Lui et les choses vont être différentes ! Le paysage vaut le DETOUR ! Regardez un peu vers le Ciel, levez les yeux ! Considérez le pendu sur cette terrible croix et l’œuvre que Jésus a accomplie pour vous ! Votre mal tel un serpent a été cloué sur la croix et dépouillé de toute sa nuisance ! 

·         croyez que Dieu a fait péché Celui qui n’a pas connu le péché;

·         croyez que son but, en venant ici-bas en ressemblance de chair de péché, était de nous sauver;

·         que le motif pour lequel Il souffrit la croix était de glorifier Dieu en portant le péché et son affreux châtiment, pour le Salut du pécheur. Jetez sur lui le regard de la foi, et vous serez sauvé.  

L’Israélite, s’il croyait les paroles de Moïse, regardait le serpent, quelque éloigné qu’il en fût. Les yeux déjà ternis par les approches de la mort, à peine respirant encore, il jetait un regard sur le serpent, et cela suffisait: il se levait vivant, un nouvel homme, pour ainsi dire. Le venin du serpent brûlant perdait sa force; et celui qui, un moment auparavant, était sur le point de mourir, recouvrait instantanément la vigueur et la santé, capable de marcher et de combattre les combats du Seigneur. Il en sera de même de vous, si vous jetez sur Jésus un simple regard de foi, mettant en Lui et dans ce qu’Il a fait pour votre âme, une pleine confiance, comme celle d’un petit enfant: — si vous croyez le témoignage de Dieu au sujet de son Fils, vous êtes éternellement racheté, éternellement sauvé, il n’y a plus pour vous aucune condamnation: non, mais la vie, la joie, la paix, la gloire seront votre partage ! (Romains 8). Peut-être direz-vous: Comment puis-je savoir si j’ai le droit de regarder ainsi à Jésus ? J’ai été un grand pécheur. Ne dois-je pas d’abord m’amender, avant de pouvoir espérer qu’Il me pardonne ? Ne dois-je pas mener une vie plus sainte, avant d’oser me confier en Lui et croire que mes péchés me sont pardonnés ? — Je vous demanderai: 

·         Pour qui le serpent d’airain fut-il élevé ?

·         Qui avait le droit de jeter les yeux sur lui et d’être guéri ?

·         N’était-ce pas le pauvre Israélite qui périssait, parce qu’il avait été mordu ?

·         N’était-ce pas parce qu’il se mourait qu’il avait le droit de regarder le serpent ?

·         N’était-ce pas pour lui seul que le serpent avait été élevé ?

·         Et Moïse lui disait-il d’essayer de se guérir avant de le regarder ?

·         N’était-ce pas en le regardant qu’il trouvait la guérison ?  

Même un agonisant peut être sauvé ! 

Il en est de même de vous. Vos péchés mêmes sont votre titre pour regarder vers Jésus. Votre seul droit au salut qui est en Jésus, c’est parce que vous périssez. Si vous sentez que vos péchés sont nombreux, qu’ils sont pour vous un pesant fardeau, que cela fasse naître la confiance dans votre cœur ! C’est pour ceux qui sont tels que vous, que le Sauveur est venu. Vous êtes perdu ! Jésus est venu chercher et sauver ce qui était perdu. Ce sont les pauvres pécheurs qui ont besoin d’un Sauveur. Ce ne sont que ceux qui périssent qui ont droit à Lui. Il est leur ami; c’est pour eux seuls qu’Il a quitté la gloire. C’est pour eux qu’Il a versé son sang. Il n’est pas venu pour les bons et les justes. Regardez donc à Lui, parce que vous êtes un pécheur. Que vos péchés vous convainquent que vous avez un titre à regarder vers Lui. Que votre misère soit ce qui vous fait recevoir sa paix et soit votre titre à sa gloire. Ceux qui sont en santé n’ont pas besoin de médecin; ce sont ceux qui se portent mal.  

Pensez-vous qu’un homme gravement malade dirait: J’attendrai de me porter mieux avant de prendre le remède qui me guérira ? Ou s’amuserait-il à raisonner avec son médecin sur la nature du remède qu’il lui présente ? Non ! Il le saisira avec empressement et le boira jusqu’à la dernière goutte, si on lui assure que cela lui sera salutaire. Il l’espérerait et aurait confiance au remède. Désirant ardemment d’être soulagé, il rejetterait ses doutes et saisirait avidement ce qui lui donnerait l’espoir d’être guéri. Ainsi, si vous désirez être sauvé, si vous sentez que vous périssez, ne perdez pas de temps à raisonner ou à chercher à vous rendre meilleur ; mais prenez, prenez le remède efficace, le parfait remède: croyez ! — confiez-vous dans l’œuvre de Jésus. Son sang précieux purifie de tout péché; et le Salut vous est gratuitement offert. Croyez que ce sang a le pouvoir de guérir et de purifier. Croyez qu’il a été versé et offert à Dieu comme sacrifice pour les péchés, pour toujours (Hébreux 9: 26/28; 10: 12/14). — Tout est accompli, vous êtes sauvé !

GUERIR DE CE QUE « LE MAL A DIT »

La guérison de toute maladie !

Nous avons tous besoin de Guérison ! A la fin de sa vie, Jung disait que si on lui trouvait quelqu'un de normal, il le guérirait ! (Jacques Brosse). Jésus est venu également pour guérir les malades... y compris ceux qui ne savent pas qu'ils sont malades ! Croyez-moi, tout le monde est malade ! Il y a 2000 ans, toute la Palestine était souffrante. L’Empire du Mal régnait, comme pour défier Jésus, et l’obliger à détourner son regard de cette humanité souffrante, nauséabonde, répugnante, geignarde. Jésus pouvait entendre la voix de Satan venant du fond de son quartier général lui dire:

·         Et cette horreur là, ne te soulève-t-elle pas le cœur ? Non ? Tu es sûr ?  Il t’en faut d’avantage ? Mais, qu’à cela ne tienne, nos magasins regorgent d’abominations, d’afflictions, de misères. Ça pullule, ça se duplique, ça se multiplie à l’infini. Tu n’a encore rien vu...”.

Mais, Jésus va s’en occuper et les guérir tous, ces fiévreux, ces atrophiés, ces variqueux, ces écorchés,  ces cyanosés, ces desquamés, ces goitreux, ces diarrhéiques, ces hébétés, ces épileptiques, ces pellagreux, ces tétanisés, ces pleurétiques, ces glaireux, ces amputés, ces hydropiques, ces éclopés... 

Donc, tous ont besoin de Jésus ! Dans l'Ecriture, il est dit de Jésus: « Tous Le cherchent ! ».

QU’EST-CE QUE LE MAL A DIT ?

 Nous attirons souvent un mal qui correspond aux paroles de notre propre bouche :

·         Job 20: 12/16: « 12 Puisque le mal est si doux à sa bouche qu’il l’abrite sous sa langue, 13 le savoure sans le lâcher et le retient encore sous son palais, 14 son aliment se corrompt dans ses entrailles et y devient un venin d’aspic. 15 La fortune qu’il avait avalée, la voilà vomie: à son ventre, Dieu la fera rejeter. 16 C’est un venin d’aspic qu’il suçait, la langue de la vipère le tuera ». 

Le mal qui nous arrive est en relation avec notre état intérieur, et la déclaration de notre propre langue. Le péché est comparé à une friandise que l’on garde dans sa bouche aussi longtemps que possible, mais qui, pénétrant dans le corps, devient un poison. Il existe une réelle relation de cause à effet. Dans le texte de Job, c’est clairement signifié: 

·         « Puisque le mal est si doux à sa bouche… c’est une venin d’aspic qu’il suçait, la langue de vipère le tuera ! ».

La liste suivante, bien évidemment non exhaustive, nous fait part de ce qui a été étudié déjà depuis longtemps et de la correspondance certaine qui existe entre une maladie, un état, et le fond de tel problème. La maladie et certaines attitudes sont révélatrices de la cause profonde de nos problèmes…

Ainsi, les accidents à répétition sont une expression de colère, de frustration et de rébellion.

L’anorexie ou la boulimie en dit long sur la haine de soi et le rejet de la vie, qui dit : "je ne suis pas assez bon pour vivre".

L’arthrite quand à elle indique un fond de critique du soi et des autres, le perfectionnisme

L’asthme parle d’un amour maternel possessif, mais aussi de complexe de culpabilité ou complexe d'infériorité.

Les problèmes de bras indiquent l’incapacité à étreindre, les anciennes émotions retenues dans les articulations.

Les brûlures, furoncles, fièvre plaies inflammations, enflures sont une expression de la colère.

Le cancer est lié avec de profonds ressentiments, la méfiance, l’apitoiement sur soi-même, la sensation d'impuissance, l’incapacité à s'en sortir. 

Le cœur est amour et le sang est joie. Les infarctus sont une négation et un rejet de l'amour et de la joie.

Les problèmes de côlon et la constipation sont l'incapacité de lâcher prise, le manque de confiance en ses réserves, thésaurisation, tandis que la diarrhée est la peur de garder.

Les problèmes du cou montrent des problèmes de flexibilité.

Les doigts Index = ego; colère et peur.

Le pouce = l’inquiétude.

Le médius = la colère, côté droit: homme, côté gauche: femme.

L’annulaire = unions et chagrin.

L’auriculaire = famille et faux semblants.

Le dos, partie supérieure : besoin de soutien et solitude émotionnelle.

 Partie médiane: culpabilité.

 Partie inférieure: épuisement, inquiétude concernant l'argent.

Les douleurs peuvent provenir de la culpabilité, cherchant punition (notez ou elle se manifeste).

Les enflures sont en relation avec les pensées inactives, les larmes retenues et le sentiment d'être pris au piège.

L’estomac quant à lui c’est l’incapacité de supporter des idées et des expériences. Qui ou quoi pouvez-vous encaisser ?

Les excès de poids parlent du besoin de protection, de l’insécurité.

Les genoux, en relation avec l’inflexibilité, l’incapacité à se plier, la fierté, l’ego, l’entêtement, la peur du changement, l’autosatisfaction. 

La gorge c’est la peur du changement, l’incapacité de parler, la colère, une créativité frustrée.

La laryngite = on est trop fâché pour parler,

Les problèmes de thyroïde sont en relation avec une créativité étouffée.

Les jambes, c’est la peur ou le peu de désir d'avancer.

Les veines variqueuses : le fait de rester dans des situations que l'on déteste.

Les mains le fait que l’on soit trop agrippé à l'argent ou aux relations.

L’arthrite parle de l’autocritique, de la critique intériorisée, de la critique des autres.

Les maux de tête en relation avec l’annulation du soi.

Les migraines: la colère et le perfectionnisme, la frustration.

Les oreilles problème avec ce qui est difficile d'accepter ce qui est dit.

Les maux d'oreilles révélateurs de la colère,

La surdité peut provenir du refus d'écouter.

Les problèmes de peau sont en lien avec le sentiment d'être menacé, que d'autres aient un pouvoir sur vous. Le fait d’être susceptible, écorché vif, et le besoin de s'auto-éduquer.

Les poumons en lien avec l’incapacité d'accepter et de donner la vie, négation de la vie.

L’emphysème, les excès de cigarettes, la négation de la vie, le sentiment d’infériorité.

Les raideurs révèlent un mental raide, une inflexibilité, la peur, la résistance au changement.

Les seins indiquent un maternage excessif d'une personne / chose / place / expérience.

Les sinus le fait d’être irrité par une autre personne.

La tête l'aspect que nous montrons au monde, quelque chose fondamentalement erroné.

Les tumeurs sont liées aux vieilles blessures torturées, et au refus de guérison.

Quant à eux, les ulcères viennent de la peur de ne pas être assez bon, et du rejet de sa propre valeur…

Il est question ici de la guérison des Israélites dans le désert, lorsque Moïse éleva le serpent d’airain. Israël avait expérimenté une merveilleuse délivrance et remporté une grande victoire sur Arad, roi des Cananéens, que Dieu avait livrés entre leurs mains. Nous lisons au verset 5 de Nombres 21 que le peuple « parla contre Dieu et contre Moïse ». Moïse avait demandé de traverser le pays d’Edom, leur promettant qu’ils ne traverseraient pas leurs vignes et ne boiraient pas l’eau de leurs puits. Mais Edom leur avait répondu :

·         « Tu ne passeras point chez moi, sinon je sortirai à ta rencontre avec l’épée » (Nombres 20: 18).

Le peuple fut donc obligé de contourner le pays d’Edom. Ce fut pour cette raison qu’ils murmurèrent contre Dieu et contre Moïse. On pourrait presque entendre murmurer les enfants d’Israël:

·         « Pourquoi nous as-tu fait sortir d’Egypte pour mourir dans le désert ? ».

On croirait entendre parler certains chrétiens ! Quand ils ne sont pas en train de sauter de joie au sommet du toit de leur maison, ils sont plongés dans une profonde vallée où tout est terriblement sombre et triste. Le peuple d’Israël venait de remporter une grande victoire, mais il était à présent conduit sur un chemin difficile, et il commença à se plaindre :

·         « Car il n’y a point de pain, et il n’y a point d’eau, et notre âme est dégoûtée de cette misérable nourriture ».

Cette "misérable nourriture" était la manne ! Eh bien, il s’est passé quelque chose :

·         « Alors l’Eternel envoya contre le peuple des serpents brûlants; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël » (verset 6).

La version du Dr. Young traduit ce verset dans le sens permissif:

·         «  Alors l’Eternel permit que des serpents brûlants soient envoyés contre le peuple ».

Ils ne s’étaient pas rendu compte que jusqu’à présent Dieu les avait protégés de ces serpents brûlants. Aussi le Seigneur laissa-t-Il ces serpents venir les attaquer. Quand avez-vous murmuré la dernière fois, ou quand avez-vous laissé tous les démons se déchaîner ? Après la confession, Dieu offre un remède

·         « Le peuple vint à Moïse, et dit: Nous avons péché, car nous avons parlé contre l’Eternel et contre toi. Prie l’Eternel, afin qu’il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple » (verset 7).

Une véritable confession devrait toujours précéder la prière pour la guérison. Confessez votre péché, puis priez. Heureusement que Moïse avait un peu grandi dans le Seigneur. Pensez à un homme qui a près de deux millions de personnes en train de murmurer contre lui. Il y a un moment où notre âme grandit. Moïse pria pour les enfants d’Israël, et Dieu lui indiqua un remède :

·         « L’Eternel dit à Moïse: Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie » (verset 8).

Dieu était en train de leur rappeler leur alliance originelle. Combien d’entre vous savent quelle était la première alliance faite par Dieu avec l’homme ? Dieu avait dit au serpent :

·         « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon » (Genèse 3: 15).

Dans cette première alliance, Dieu avait promis que Quelqu’un viendrait écraser la tête du serpent. Il avait conclu cette alliance avec toute l’espèce humaine. C’est l’une de nos alliances universelles. Nous avons le droit d’y faire référence et de nous attendre à l’accomplissement de la promesse.

Le Serpent a été privé de son crochet venimeux

Jésus a privé le serpent de son crochet venimeux. Dieu avait promis que le Christ écraserait la tête du Serpent. Mais, ce faisant, Il aurait le talon blessé par le Serpent. C’est-à-dire qu’en écrasant la tête du Serpent, Jésus allait être blessé dans Son effort. La blessure du talon s’est produite lorsque Jésus-Christ est mort à la croix.

·         1Corinthiens 15: 54: « Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite: La mort a été engloutie dans la victoire. 55 O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? 56 L’aiguillon de la mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi. 57 Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! ».

Mais, en même temps que son talon a été blessé, Il a écrasé le serpent pour toujours. Le serpent doit être entièrement éliminé du monde, avec tout ce qu’il représente.

MALEDICTION DE LA MALEDICTION !

La délivrance de toute malédiction ! 

·         Une malédiction est un état de malheur inéluctable qui semble imposé par une divinité, le sort ou le destin.

·         La malédiction est aussi un rituel appelant les puissances divines à exercer leur action punitive contre un individu ou un groupe d'individus, objet de cette malédiction.

·         Une malédiction est aussi, un malheur qui agit sur une réputation, qui fait que les autres vont se méfier de cette personne, comme un envoûtement " négatif ".

Des malédictions célèbres…

Vous avez probablement entendu parler de malédictions célèbres, telles, la malédiction du pharaon, la malédiction des Templiers, la malédiction de Tecumseh en 1811 qui porte sur tous les présidents américains élus lors d'une année se terminant par un zéro, la malédiction des Kennedy… ?! MAUDIRE C’EST MAL DIRE, avec la connotation d’envoyer un sort. La diction est mauvaise. Les paroles et les mots ont un pouvoir. Bénir, c’est « bien dire ». Le centurion romain l’avait bien compris:

·         « dis un mot et mon serviteur sera guéri ».

 

·         Matthieu 12: 34/37: « 34 Engeance de vipères, comment pourriez-vous dire de bonnes choses, alors que vous êtes mauvais ? Car ce que dit la bouche, c’est ce qui déborde du cœur. 35 L’homme bon, de son bon trésor, retire de bonnes choses; l’homme mauvais, de son mauvais trésor, retire de mauvaises choses. 36 Or Je vous le dis : les hommes rendront compte au jour du jugement de toute parole sans portée qu’ils auront proférée. 37 Car c’est d’après tes paroles que tu seras justifié, et c’est d’après tes paroles que tu seras condamné ».

Une langue de vipère profère des paroles venimeuses… contre vous-même ! Le péché parle mal de vous, il vous maudit ! Le péché du monde a maudit Jésus Lui-même, qui a été mis au rang des maudits et des criminels, Il a été cloué à la croix, S’étant Lui-même chargé de notre malédiction et de nos crimes.

·         « Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous, car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois » (Galates 3: 13).

Pourquoi Moïse a-t-il mis un serpent sur la perche, et non pas un agneau ? C’est à cause de la victoire de Jésus sur la mort ! Il n’est plus sur la croix, Il est ressuscité ! Seules les puissances de l’Enfer sont maintenues sur le bois de la Croix ! Tout ce qui envenime votre vie et empoisonne l’existence, tout cela est sur la croix ! Maintenant, pouvez vous REGARDER votre maladie, votre dépression, votre douleur, votre cancer cloué sur la croix ! Considérez-les attentivement ! Ils ne sont plus dans votre vie, dans votre corps, dans vos circonstances, ils sont sur la Croix, lieu de leur défaite ! Ainsi, Jésus-Christ qui est la Parole de Dieu, a aussi parlé, comme si Il disait: « maudite soit la malédiction !». C’est la « malédiction » de la « malédiction ».

Lorsque Paul expose le sujet, il éclate d’une grande joie :

·         « Ô mort, où est ta victoire ? Ô mort, où est ton aiguillon ? » (1Corinthiens 15: 55).

L’aiguillon de la mort, c’est le péché, mais Christ est venu, le péché a été aboli, et le crochet venimeux du serpent a été détruit. Parmi tous les merveilleux symboles de la Parole de Dieu, je pense qu’aucun ne souligne d’une manière aussi éclatante la victoire de Jésus-Christ que ce symbole du serpent, qui avait mordu et maudit Israël, et que Dieu a fait dresser devant le peuple, en disant :

·         « Regardez-le maintenant, et vous vivrez ! ».

Pourquoi ? À cause de la puissance de la promesse, à cause de l’alliance, à cause de la blessure de Jésus, et parce qu’Il est devenu malédiction pour nous. Que Dieu soit béni d’éternité en éternité !

Vous devez IDENTIFIER votre mal et le REGARDER comme cloué à la croix !

Le mal qui vous a atteint est maintenant exposé ! Voyez-vous votre mal sur la Croix ? Jésus a porté tout cela sur la croix :

·         Voyez-vous votre grosseur ?

·         Voyez-vous le Diabète ?

·         Voyez-vous le cancer ?

·         Voyez-vous la Dépression ?

·         Voyez-vous votre douleur

SI TU LE VOIS, CELA T’ARRIVERA !

·          « Élie dit à Elisée: Tu demandes une chose difficile. Mais si tu me vois pendant que je serai enlevé d’auprès de toi, cela t’arrivera ainsi; sinon, cela n’arrivera pas » (2Rois 2: 10).

Avant d’opérer, un chirurgien célèbre avait l’habitude de dire à ses patients:

·         « Regardez votre blessure à loisir, puis fixez vos yeux sur moi et ne les retirez plus jusqu’à ce que l’opération soit finie ! ».

Selon le même principe, nous savons que nos yeux ont le pouvoir d’attirer à eux ce qu’ils regardent. Comprenez le pouvoir qu’ont les yeux d’attirer à eux ce qu’ils regardent. On peut aussitôt comprendre qu’il y a une action derrière les yeux. Il y a quelque chose dans notre nature qui attire et prend possession de ce que notre âme admire et désire.

Nous attirons à nous-mêmes ce que nous contemplons

·         « Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l’Esprit » (2Corinthiens 3: 18).

Que Dieu soit béni !

·         Êtes-vous pécheur ?

·         Regardez à Jésus et soyez sauvé !

·         Êtes-vous malade ?

·         Regardez à Jésus et soyez guéri !

Nous regardons la Victoire de Jésus et la Défaite du Serpent. Le serpent était leur ennemi particulier. Il était devenu le symbole des ennemis de l’espèce humaine dès le commencement. L’Ecriture emploie cette phrase pour le décrire: « Le serpent ancien, le diable, et Satan ». Le serpent représente tout ce qui est maudit par Dieu. Mais le caractère absolu de sa défaite, le triomphe merveilleux de la Rédemption, sont établis et décrits dans le fait que lui, le symbole des ténèbres, a été dressé et fixé sur une perche. Dieu a dit:

·         « Venez et regardez-le ! Ne soyez pas effrayés par lui ! La puissance de la promesse l’a vaincu ! ».

Complète défaite du « mal multiforme »

Le Nouveau Testament nous révèle le caractère absolu de la défaite du serpent. La Parole dit :

·         « Résistez au diable, et il fuira loin de vous ».

TOUT LE MONDE ET N’IMPORTE QUI !

Le mot « quiconque » signifie « tout le monde et n’importe qui ! ». C’est ce que Jésus est devenu pour nous sur le bois maudit de la croix ! Il a consenti à être maudit pour tout le monde et pour n’importe qui. C’est le même Christ pour les intellectuels que pour les enfants, pour les pauvres que pour les riches, pour paysans comme pour les présidents, pour les prostituées comme des saints: "Quiconque !"… quiconque regarde vivra.

LES TROIS QUICONQUES SUPPOSENT DES CANDIDATS 

D’abord un premier « QUICONQUE » désigne le

CANDIDAT AU SALUT !

·         « Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ait la vie éternelle »… 

La réponse à cet appel, c’est une décision personnelle ! Cet appel concerne toute créature ici bas sur terre: « allez et évangélisez toute la création… ». C’est un appel destiné à tous, en aussi grand nombre que le Seigneur Dieu les appellera. Allez vous prendre votre décision, c’est vital ?!

Puis un second « QUICONQUE » nous indique le

CANDIDAT A LA GUERISON ! 

Chacun est responsable des propos tenus contre et des murmures… et de ses conséquences: 

·         « Quand chacun prendra conscience de son fléau et de sa souffrance… » (cf. 2Chroniques 6: 19).

MAIS

·         « Quiconque aura été mordu et le contemplera, conservera la vie ».

Enfin un dernier « QUICONQUE » nous dirige vers le

CANDIDAT A LA BENEDICTION ! 

·          « Maudit est quiconque est pendu au bois » (Deutéronome 21: 23).  

Il est question de Celui qui a été percé pour nos iniquités sur le bois de la croix. Il est descendu de cette croix, puis Il est ressuscité. Depuis les puissances infernales et sataniques sont clouées elles mêmes sur la croix, lieu de leur défaite totale et absolue.

 

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