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Les dons spirituels (suite)

10 - Leur contenu

2 - Les vrais adorateurs 3 - Nés de nouveau 4 - Plénitude de l'Esprit 5 - Plénitude pratique 6  -Dons de Dieu 7 - Promesses 8 - Actualite 9 - Neuf dons 11  - Foi & guérison 12 - Dons de révélation 13 - Dons des langues 14 - Réponses objections

Ces pr�cautions �tant rappel�es, nous pouvons examiner le contenu de ces dons spirituels.�

A) Parole : don de sagesse et don de connaissance 1Corinthiens 12 : 8�

La sagesse, celle de Dieu, est souvent mentionn�e dans les Saintes Ecritures. Uniquement dans les trois premiers chapitres de la premi�re lettre aux Corinthiens, le mot sagesse est utilis� vingt quatre fois.�

��Mon fils, si tu re�ois mes paroles, et si tu gardes avec toi mes pr�ceptes, si tu rends ton oreille attentive � la sagesse, et si tu inclines ton coeur � l�intelligence; oui si tu appelles la sagesse, et si tu �l�ves la voix avec intelligence, si tu la cherches comme l�argent, si tu la poursuis comme un tr�sor, alors tu comprendras la crainte de l�Eternel, et tu trouveras la connaissance de Dieu.�� (Proverbes 2 : 1-5).�

La sagesse de Dieu s�acquiert, la sagesse du monde aussi, mais pas de la m�me mani�re. Nous constatons souvent ce d�calage entre ces deux notions, parce que les buts recherch�s sont diff�rents. Celle du monde vise une am�lioration personnelle, quelquefois collective. Il s�agit des int�r�ts de l�homme, elle est mat�rialiste, du domaine de l��tre charnel. Tandis que la sagesse de Dieu est spirituelle, elle concerne non plus l�homme dans son horizon � court terme, mais elle s�inscrit dans l��ternit�.�

��Que nul ne s�abuse lui-m�me : si quelqu�un parmi vous pense �tre sage selon ce si�cle, qu�il devienne fou, afin de devenir sage. Car la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu...�� (1Cor. 3 : 19).�

Il est donc dit que cette sagesse s�acquiert. Le chr�tien va effectivement comprendre, partiellement aujourd�hui, la sagesse de Dieu. Il la comprend par la lecture de la Parole, par l��dification qu�il re�oit dans la lecture de certains livres, par les messages qu�il entend dans son �glise, par des entretiens avec des fr�res et des soeurs qui ont une plus longue exp�rience des choses du Seigneur.�

Mais il ne s�agit pas de cela dans le don de sagesse. Puisqu�il est dit, dans le texte de r�f�rence, que le Saint-Esprit donne ��� l�un une parole de sagesse��, tandis qu�� un autre un don diff�rent. Il ne peut s�agir que de quelque chose de particulier.�

Ce n�est que dans la sagesse divine que peut s�inscrire ce don. Dieu r�v�le son conseil dans un contexte donn� pour un besoin sp�cifique, ou pour une personne en particulier. Souvent cette parole de sagesse est prononc�e, dans l�assembl�e, par un fr�re ou une soeur qui ne sait m�me pas � qui s�adresse cette parole. Et c�est bien qu�il en soit ainsi, car il n�y a pas de doute de l��ventuel dirigisme humain du don.�

Il en va de m�me de la parole de connaissance. Ces dons sont �troitement li�s, ce qui est normal si l�on admet que la sagesse n�est rien d�autre que la connaissance bien appliqu�e.�

��Je veux que vous sachiez combien est grand le combat que� je soutiens... pour qu�ils soient unis dans l�amour, et enrichis d�une pleine intelligence pour conna�tre le myst�re de Dieu, savoir Christ, myst�re dans lequel sont cach�s tous les tr�sors de la sagesse et de la connaissance.�� (Col. 2 : 1-3). �

Le don de connaissance ne concerne donc pas ce que nous pouvons apprendre sur le Seigneur, dans la Parole ou par tout autre moyen normal pour le chr�tien, mais une r�v�lation sp�cifique. R�v�lation, nous n�insisterons jamais assez sur ce point, qui ne peut jamais venir contredire quoi que ce soit de ce qui est dit dans la Parole, car Dieu ne se contredit pas.�

Par contre le Saint-Esprit peut d�voiler une partie de connaissance qui nous �chappe, par exemple pour r�veiller son Eglise. L�exemple le plus significatif, peut-�tre, �tant celui du livre de l�Apocalypse, scell� pour un temps. Il nous est dit qu�il sera ouvert dans les derniers jours. Il n�est donc pas scell� d�finitivement, bien entendu, car alors ce livre n�aurait servi � rien. �

Nous devons constater �galement que tout r�veil spirituel, dans n�importe quelle r�gion du monde, et quel que soit le si�cle, a �t� une r�v�lation de la connaissance, que le Seigneur a d�voil�e, ou redonn�e quand elle �tait oubli�e. �

Il n�y a pas contraction avec ces deux affirmations, d�une part que la parole de connaissance, don spirituel, n�est pas ce que nous pouvons apprendre par la lecture des Ecritures, et l�autre affirmation que c�est une red�couverte de ce qui est �crit. Parce que cette red�couverte n�est pas ��naturelle��.�

En effet, toute notre exp�rience personnelle montre qu�il n�est rien de plus difficile que d�accepter l�id�e que notre compr�hension de la foi, c�est � dire nos rep�res, notre th�ologie personnelle, peuvent �tre plus ou moins erron�s. Il ne faut pas chercher plus loin la raison du peu d�amour fraternel envers les fr�res et soeurs d�Assembl�es, m�me Evang�liques, diff�rentes. La peur d��tre amen�s � mettre en cause nos rep�res, enterre tous d�sirs de rapprochements. Cette attitude sournoise, parce que jamais avou�e, augmente les divisions.�

Il faut toute la puissance du Saint-Esprit, une grande mesure de ce don de connaissance, pour vaincre cet aveuglement, cette politique de l�autruche qui consiste � se cacher les probl�mes, pour croire qu�ils n�existent pas. �

Tout est �crit dans l�Ecriture, et pourtant, au cours des si�cles, des v�rit�s �clatantes se sont perdues. Des enseignements ont disparu, dans les p�riodes de faiblesse de l'Eglise, favorisant des concessions avec le pouvoir, en particulier pour des raisons de syncr�tisme. L�histoire de l�Eglise est pleine de compromis et de prostitutions.�

Ces retours aux sources de l'Eglise, telle qu�elle a �t� voulue par J�sus, mais aussi fruit de l�effusion de la premi�re Pentec�te, ne doivent rien ajouter � la doctrine. Au contraire, ce retour va purifier l'Eglise de tous ses d�rapages.�

La Parole nous dit que l�Esprit distribue les dons selon sa volont�, quand Il veut, � qui Il veut. Ces deux dons que nous venons de mentionner sembleraient, selon notre logique,� concerner plus particuli�rement ceux qui enseignent.�

� ... ma parole et ma pr�dication ne reposaient pas sur les discours persuasifs de la sagesse, mais sur une d�monstration d�Esprit et de puissance, afin que votre foi soit fond�e, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu.�� (1Cor. 2 : 4-5).�

Paul se laissait totalement conduire par le Saint-Esprit. Ce devrait-�tre le cas de chaque serviteur de Dieu, mais pas seulement d�eux. Tous les chr�tiens, conscients d��tre enfants de Dieu, conscients de leur nouvelle nature, sont appel�s � rechercher ces dons, que l�Esprit distribue selon sa sagesse. �

A l�exemple de Paul, il serait plus que souhaitable que� tous les Docteurs, c�est � dire tous ceux qui enseignent, recherchent activement ces dons. Ces serviteurs ajouteraient � leur connaissance acquise, fruit de leur travail, la connaissance r�v�l�e. Cela dynamiserait leur enseignement. En effet, ils n�apporteraient pas un message construit selon la qualit� de leur formation, mais inspir� par l�Esprit. Ce qu�il apporte r�pondrait � un besoin actuel, ponctuel, et renouvel�. Le Pr�dicateur, ainsi nourri par l�Esprit, n�est peut-�tre m�me pas toujours conscient de la pertinence de son message, souvent c�est apr�s coup qu�il remercie le Seigneur pour l�avoir conduit.

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