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du 23 juin 2012
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Il est vivant ! 1�re partie
Ce que signifie la R�surrection de J�sus-Christ pour la race humaine
Par le Pasteur G�rard Sadot

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Il y a 2000 ans, une obscurit� �trange a plan� sur J�rusalem. Le ciel semblait s��tre voil�, ferm�. Le soleil ne parut plus, une nuit
�paisse comme celle d�Egypte a recouvert la terre. J�sus dit: �J�ai soif !�. ..
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Une cr�ature s�approcha de la croix accompagn�e de nombreuses autres, certaine du triomphe final de ce conflit. De ce conflit d�pendait le sort de tous les �ges. D'une voix rauque, comme venant du s�pulcre, terrifiante, il s�adressa � J�sus qui pendait sur la croix :
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��Je me l�ve pour te rencontrer dans ce jour de ta folie. Tu es encha�n�. Tu es victime. Les anges, les saints, et les hommes ont
proclam� ton triomphe sur la mort. La MORT est mon nom. Tu t�es engag� � renverser la loi par laquelle j�existe. Cette loi qui nourrit les tombeaux insatiables de corps d�enfants, de jeunes et de vieillards; cette loi qui d�ploie sa puissance et nul ne peut s'y opposer. Cette loi qui s�agrippe � toi aujourd'hui, et toi aussi tu va p�rir. Voici, je viens saisir le vase que tu es pour l��craser contre le roc de marbre de la d�sint�gration��.
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Puis, tendant la main, la Mort saisit le corps de J�sus dont les nerfs sensitifs fr�mirent et se contract�rent, au toucher glacial de ses doigts. Alors, J�sus cria: �Eloi, Eloi, lama sabachtani. Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi m�as-tu abandonn� !�.
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Une voix vient d�en-haut en r�ponse: �Il est seul � fouler au pressoir�. Pourtant, r�pondit une autre voix. Il souffre Lui, juste
pour les injustes !�.
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��C�est donc moi qui remporte la victoire cria la Mort. Celui qui �tait au commencement avec Dieu p�n�tre au sein des �l�ments destructeurs o� la loi qui a �t� viol�e met en pi�ces ceux qui l�ont viol�e. Il y entre pour les sauver, mais Il va �galement p�rir. Il se meurt: que l�enfer se l�ve et contemple mon triomphe. Quant � vous, arm�es ang�liques, venues pour assister � la sc�ne, tremblez � la vue de J�sus qui se d�bat dans ma main droite. Vous tous qui avez proclam� � travers le ciel entier qu�Il vaincrait la Mort, oui, voyez le combat qu�Il livre, alors que je le maintiens sous mon pouvoir. A moi seule, je brandis cet �Homme-Dieu� dans ma main et je bondis avec Lui au milieu des tombeaux.
Ah ! Ah ! Ah ! Chantez sa victoire ? Chantez plut�t sa d�faite. Je tiens le �vainqueur�. Vous, les cieux, rendez les armes avant que je ne monte de sph�re en sph�re, pour �branler le tr�ne �ternel et faire des mondes c�lestes au cimeti�re pour les morts�.
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Ensuite, d�un regard sauvage et triomphant, la Mort fixa le visage du Sauveur et lui dit, sur un ton de menace injurieuse: �
�Comme il est vain pour toi de t�attendre � une issue ! N�ai-je pas tu� les multitudes innombrables ? Et toi, tu pourrais m��chapper ? Non, J�sus, toi homme-Dieu, je vais te livrer en sacrifice, toi, mon dernier ennemi�.
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Autour le la sc�ne s��tait de nouveau rassembl�e toute l�arm�e desmauvais esprits. Apollyon les conduisait en triomphateur, ils faisaient flotter dans les brises infernales, leurs sombres banni�res, sur lesquelles �taient repr�sent�es les figures d�Apollyon, incarnation du mal et de la mort, funeste destructeur, en train de s�embrasser au-dessus de l�image de la croix et du sacrifice sanglant. Derri�re suivaient blasph�mes �hont�s, cris tumultueux, rires sauvages, f�roces, et d�moniaques. Les messagers du Mal allaient et venaient en vagues �paisses et noires, faisant �clater leur jubilation infernale, comme il jaillissait d�une mer comprim�e de folie et de jouissances diaboliques. Ils tournaient en ronde autour de J�sus, en s�exclamant:
��Ah ! Ah ! Ah ! Ah !��, pendant que la Mort lui parlait et leur triomphe semblait certain. Les enfants, en regardant cela, demand�rent: �Vont-ils gagner, et J�sus mourir ?�.
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��Si J�sus est an�anti, r�pondit l�ange, les cieux s�effondreront: Il tient l�Univers dans sa main droite !�.
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��Pourtant, r�pliqua Apollyon d�une voix qui venait de loi, Il d�faille, en cette heure d�cisive ! Faites �clater votre chant de mort, vous myriades rassembl�es, car voici, J�sus, qui s�est vant� d��tre le Fils de Dieu, est finalement vaincu. La Mort triomphe !�.
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Alors, la nature divine de J�sus prit la parole et dit:
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�Personne ne m��te le vie; Je la donne de moi-m�me. Vous qui cherchez ma perte, utilisez des hommes, dans ce monde visible, comme agents de massacre et d�ex�cution, mais ils n�ont sur moi aucun pouvoir, sauf celui qui leur est donn�. Voici, Je franchis les portes de la Mort, mais pour te lier, destructeur! Afin d�arracher � ton pouvoir mon peuple: ceux que je rach�te. C�est pour pouvoir te vaincre que Je te rencontre dans ton propre domaine. Me voici! Tu es cern� dans tonpropre dessein. Je viens te rencontrer, non par accident, mais pour ouvrir la tombe, lib�rer les captifs, ouvrir la porte de la prison � ceux qui sont enferm�s et encha�n�s; pour te lier, toi, et briser ton pouvoir. Je Suis descendu au milieu des �l�ments destructeurs, mon humanit� �tant le v�hicule par lequel je p�n�tre dans les sombres domaines o� la mortalit� succombe. Tu es vaincue. La loi de la vie et de l�harmonie va t�encercler et �tablir les limites de ton royaume. C�est ainsi que tu attendras le jour o� la mort et l�enfer seront jug� dans l�ab�me sans fond, et o� ils n'affligeront plus mon peuple�.
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En disant ces mot, le R�dempteur lia la Mort avec une cha�ne de lumi�re. Puis, le levant les yeux vers Justice qui observait depuis la nu�e, Il dit: �Tu vois, l�Esprit de Vie est vainqueur de la mort�.
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Ensuite, Il s�adressa � la violente temp�te de nature d�vastatrice qui concentrait autour de Lui son puissant tourbillon et venait se briser contre sa personne en trombes effrayantes. Il dit: �Arr�te, flot de furie ! Roulez en arri�re, grosses eaux et et vous, courants de mort. Desserre ton �treinte qui pr�tendait m��craser, toi prince des terreurs ! C�est moi: Je viens arracher � la perdition la plan�te d�chue, avant qu'elle ne sombre dans le gouffre de l'ab�me�.
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Alors, levant la main droite, de sa force divine, debout sur la puissante cataracte de nature destructrice, Il toucha une horde qui, dans tes r�volutions errantes, s��tait approch�e de l�ab�me, en subissant l�attraction, et se tenait juste au bord, grouillant de ses millions de membres inconscients; elle �tait pr�te � tomber au creux des lames d�une mer forte qui, sans que rien ne les retienne, se pr�cipitaient dans le gouffre de la Mort. Tout en retenant le globe en suspens, J�sus dit: �Calme toi, temp�te, terrible dans ta puissance ! M�me si tes vagues encerclent de fa�on mena�ante, le monde condamn�, bien que ton courant l�attire avec une force immense, bien que tu aies oblig� la Terre � suivre le mouvement houleux de la mort depuis toujours, tiens-toi tranquille! Terre, inverse ton mouvement. L�ve-toi; voici, le jour de ton salut para�t! Vous, puissants vents des cieux, venez raviver de votre souffle la horde en train de mourir. Et, vous eaux pures, coulant sans cesse des sources in�puisables de la vie, que vos ondes rafra�chissantes abreuvent son sol aride et dess�ch�. Et vous, anges, qui exercez votre minist�re d�amour, rassemblez-vous rapidement autour de la race d�voy�e, administrez-lui un cordial de vie et, par la v�rit�, donnez-lui l�antidote du mal caus� par la fausset� des coeurs pervertis. Barrez la porte qui m�ne aux sommeils �ternels pour que l�humanit� mis�rable n�y entre pas. Quant � toi, Mort, reprit-Il, tu te vantes de tes millions de victimes, mais sur toi Je fixe mon sceau: tu es li�e et tes jours sont compt�s. Le S�jour des morts, Had�s, ton royaume de mortalit�, troph�e de tes si�cles de victoire, s��vanouira. Et toi-m�me au temps marqu�, n�ayant plus de royaumes � d�truire, tu mourras�. J�sus s�adressa ensuite � Apollyon et dit: �Ennemi de toute justice, de l�harmonie, de la paix et du ciel, h�te-toi de retourneraux lieux d�o� tu viens. Conduis tes troupes en direction de la mort car, le moment venu, toi aussi, tu sentirais une force te retenir. Oui, Je Suis venu pour d�livrer mon peuple!�.
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J�sus fit alors un geste de sa main et Apollyon, ainsi que ses l�gions s��loign�rent, puis un nuage noir, qui les accompagnait, les d�roba � nos yeux. Le Seigneur dit ensuite: �
�P�re, entre tes mains, Je remets mon esprit�. Et Il cria d�une voix forte: �Tout est accompli�.
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Enfin, tenant la Mort assujettie � Sa Volont�, Il descendit visiter les esprits en prison�
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3 grandes cons�quences de la R�surrection de J�sus:
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1) - Une grande R�alit�,
2) - Une grande Puissance,
3) - Une grande Mission.
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1) Une grande R�alit�...
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Le Tombeau �tait vide. Cette r�surrection est de toute mani�re un fait incontournable. C�est la base du Christianisme. �Si Christ n�est pas ressuscit� d�entre les morts, notre foi est vaine.� Tout au plus, J�sus serait mort comme un h�ros quelconque, un Gandhi, ou un Martin Luther King, lesquels d�ailleurs se sont inspir�s de lui. Dans l�histoire des religions, Un seul est ressuscit�, J�sus de Nazareth.
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On a examin� le Suaire de Turin, et jusqu�en 88, il y avait une chance sur 84 millions pour que ce soit r�ellement celui qui �tait sur J�sus dans le s�pulcre. Mais la datation au carbone 14, r�alis�e par trois laboratoires (Tucson, Zurich, et Oxford) a sem� le doute dans les esprits. Cette toile de lin aurait �t� tiss�e en plein Moyen-Age !
Mais 5 ans plus tard, nouveau coup de th��tre, en Juin 93, un second symposium scientifique r�uni � Rome conclut, lui, � l�authenticit� de la relique� Jean-Baptiste Rinaudo, physicien de Montpellier, a obtenu le m�me type d�empreinte en soumettant une toile de lin � un intense bombardement protonique et neutronique� ce qui a provoqu� un rajeunissemnt du tissu� et une double datation au carbone 14 a mis en �vidence un �cart de plusieurs milliers d�ann�es� Vrai ou faux , cela ne change rien au fait lui-m�me.
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Les Gardes: ils tremblaient de peur et devinrent comme morts.�
Ils ont chang� de couleur, ont bl�mi, furent retourn�s par ce qu�ils ont vu, et furent vid�s de toutes forces...
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Les principaux sacrificateurs: ils ne voulurent rien savoir de ce que les gardes ont racont�, et ils ont pens� qu�ils avaient r�v�, et s��taient endormis.
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Ne sachant pas comment cacher le fait que le corps de J�sus ait disparu, ils ont rationnalis� le Surnaturel, l�ont ramen� � une explication logique, � la raison, car ils ne pouvaient l�admettre, puisqu�ils ne croyaient pas � la puissance de Dieu� ni aux anges, ni � la R�surrection. Ils avaient une religion de morale, oppos�e � l�Evangile.
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Quelqu�un disait un jour � Talleyrand (Ev�que d�Autun, pr�sident de l�Assembl�e Nationale sous la R�volution, ministre et diplomate sous diff�rents r�gimes par la suite, un des hommes les plus astucieux qui ait jamais exist�!):
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- �La religion chr�tienne, apr�s tout, quelle difficult� y aurait-il � fonder une religion similaire?�
- �Aucune, r�pondit Talleyrand, il suffirait de se laisser Crucifier et de ressusciter le 3�me jour !�
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Les disciples: ils sont d�cevants, car, ils re�oivent cette v�rit� avec bien des doutes... en effet l�incr�dulit� colle tellement � la peau� M�me si quelqu�un des��morts ressucitait, ils ne croiraient pas en Lui. Ils ont pris le r�cit des femmes pour des niaiseries� Ce qui peut se comprendre !
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Quand Pierre et Jean sont accourus au tombeau, Pierre est arriv� le premier, �tant le plus jeune: ��Il vit et aper�ut�� = Observation rapide, d�un seul coup d��il, un simple aper�u (grec = Blepei, vue physique sans plus).
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Mais Jean a vu et cru (grec = Eiden, consid�rer avec une grande attention, avec discernement, il a compris). Tout comme lorsqu�on vous explique quelque chose et que vous dites: �Je vois, je vois!�, cela signifie que vous comprenez. Cette v�rit� de la R�surrection a p�n�tr� son �me, et il a compris ce qui s��tait pass�. Pour lui, ce fut plus qu�un fait historique, mais quelque chose qui a boulevers� sa vie personnelle.
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Les femmes: elles ont cru sans discuter, ce qui est d�j� un miracle en soit ! Elles avaient une crainte respectueuse� Elles ont cru les messagers v�tu de blanc, � et elles seront les premi�res � voir J�sus lui-m�me devant elles. Il les salue et dit: �
�R�jouissez-vous, soyez en Paix, n�ayez pas peur...�.
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Le Christ Vivant s�che les larmes de ceux qui pleurent, donne la paix, ouvre l�esprit de ceux qui ne comprennent pas, de l�intelligence pour le conna�tre, accorde la pr�sence � ceux qui �taient sans esp�rance, sa puissance, Il souffla sur eux en pr�vision de la Pentec�te...
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Les diff�rentes Th�ories :
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a) Th�orie du corps vol� :
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Les disciples auraient vol� son corps. Mais le tombeau �tait gard�. La pierre �tait roul�e, scell�e, le s�pulcre bien gard� de plus, loin de voir les disciples complotant l�enl�vement du corps de J�sus, nous les voyons plut�t d�sesp�r�s, l�ches tremblants derri�re des portes ferm�es. Pour eux, c'�tait tout � fait inadmissible... Est-ce que des soldats entra�n�s dorment quand ils sont en service ? Et s�ilsdormaient comment pouvaient-ils voir que les disciples avaient pris corps ? Le bruit de la pierre roul�e les auraient de toute fa�on r�veill�s !
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b) Th�orie de l'�vanouissement:
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J�sus ne serait pas mort lorsqu�on l�a descendu de la Croix. Les disciples auraient conclu une telle chose, mais en fait, il se serait seulement �vanoui !..Dans le froid du s�pulcre, il serait revenu � lui. Alors, le centurion qui a enfonc� la lance dans le c�t� de J�sus, aurait fait une grave erreur en rapportant qu�il �tait bien mort. Apr�s l�agonie de Gets�man�, la flagellation cruelle, les mauvais traitements, et la croix, le corps �tait entour� de bandelettes jusqu�� la ressemblance d'un cocon ; les pieds et mains li�es le long du corps.
Mais comment aurait-il pu surtout apr�s cet �tat de faiblesse, rouler la pierre qui pesait plusieurs centaines de kilos. que 3 femmes n�auraient pu enlever, car, Marie-Madeleine, Marie m�re de Jacques, et
Salom�e disaient : �
�Qui nous roulera la pierre ?�.
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L��tat de faiblesse de J�sus �tait extr�me (privations et souffrances, perte de sang...), en aurait fait un exploit invraisemblable, surtout en �chappant � l�attention des gardes, qui savaient que leur vie d�pendait de leur service !
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c) Th�orie l�hallucination...
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Marie-Madeleine, la premi�re � qui J�sus s�est r�v�l� aurait �t� victime d�une Hallucination. Les 11, dans leur fr�n�sie de l�excitation, en se rappelant les paroles de J�sus, �voqu�rent une vision correspondant � leurs d�sirs. Ils seraient devenus dupes de leur imagination� mais pourquoi ont-ils cru eux -m�me que c��tait des niaiseries ? des contes sans r�alit� ? Cependant 500 l�ont vu en m�me temps, tant de personnes ne peuvent avoir une m�me hallucination au m�me moment !
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d) Th�orie du spectre :
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Apr�s sa mort, ce n�est pas J�sus physiquement qu�ils ont vu, mais son �esprit�, un fant�me ! Mais alors, si ce n�est pas une r�surrection physique, pourquoi la tombe �tait vide, ne contenant que les v�tements ? Qu�est-il donc arriv� au corps, s�ils ont vu que l�esprit ? Or, quand J�sus appara�t, Il n�est pas un esprit d�sincarn�: �Un esprit n�a ni chair ni os comme vous��voyez que j�ai !� (Luc 24: 39).
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Et son corps portait les blessures de la croix. Si le corps n�a pas �t� vol�, comment se fait-il qu�Il n��tait plus dans la tombe ?
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e) Th�orie de la Substitution :
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Quelqu�un d�autre aurait �t� crucifi� � la place de J�sus, par erreur. Les Musulmans soutiennent cette id�e. Ils se r�f�rent � l��vangile de Barnab� (g�n�ralement attribu� � un ou des auteurs musulmans - note de l'�diteur), dans lequel Judas est chang� en la ressemblance de J�sus et aurait subi��la croix � sa place. Mais ce document fut �crit au 15�me si�cle, 1400 ans apr�s l��poque o� vivait le d�nomm� Barnab� C�est donc un faux! Mais les pharisiens et les chefs religieux connaissaient si bien J�sus, qu�il est impossible qu�ils se soient tromp�s de personne��pour commettre une telle erreur ! De toute mani�re, m�me si l�on suppose que ce soit l� la v�rit�, o� est alors pass� la corps de cette victime (Judas) ? Plus tard, lors des apparitions, J�sus a bien �t� identifi�, et a montr� les traces dans ses��mains, ses pieds et son c�t� perc�.
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La tombe �tait bien vide du fait de la R�surrection. Dans les 30 ann�es qui ont suivies, les disciples ont subi la mort, une mort violente pour leur foi dans la r�surrection... Donne-t-on sa vie pour quelque chose que l�on sait �tre faux ?
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Voici la liste des onze ap�tres et de quelques responsables chr�tiens du premier si�cle et ce qu�ils sont devenus:
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- Andr� est mort crucifi�,
- Barnabas��lapid� � mort par les Juifs,
- Barth�l�my b�tonn� � mort,
- Jacques, fr�re de J�sus, lapid�,
- Jacques fils d�Alph�e, jet� du haut du Temple et battu,
- Jean mort de cause naturelle mais emprisonn� � cause de la Parole de Dieu,
- Jude crucifi�,
- Luc pendu � un olivier,
- Marc br�l� apr�s avoir �t� tra�n� � terre
� par les pieds,
- Matthias lapid� et d�capit�,
- Matthieu tu� par l� �p�e,
- Paul d�capit�,
- Pierre fouett� et crucifi� t�te en��bas,
- Philippe fouett� et crucifi�,
- Simon crucifi�,
- Thomas transperc� par une lance,
- Jacques fils de Z�b�d�e tu� � l� �p�e,
- Thadd�e tu� par des fl�ches !
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2) Une Grande Puissance :
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La pierre a �t� roul�e, le linceul pli�, l�ange est descendu ayant l�aspect de l��clair, un tremblement de terre a eu lieu� ! Aujourd�hui on ne s�attend plus au surnaturel comme les femmes qui sont venues au tombeau avec des aromates pour embaumer le corps de J�sus, et qui ont fait et des achats inutiles et des questions vaines:�
�Qui nous roulera la pierre ?�.
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On se pose de faux probl�mes, on a��la pens�e d�un Christ mort.�
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-��La pierre de temps et de l�histoire, la pierre des si�cles fait souvent obstruction, et emp�che de croire� elle nous dit:���C�est du pass�, c�est une l�gende, une vieille histoire...�.
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- La pierre de l�ignorance� le plus grand drame de Pharaon �tait qu�il ne connaissait pas le Dieu de Moise...et se refusait d�en savoir d�avantage� d�o� toutes les plaies dE2Egypte. Pour nager, il faut de l�eau, pour conna�tre la v�rit�, il faut y plonger.
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-��La pierre de la routine, et des habitudes, de la tradition. LeChristianisme n�est rien moins que la culture occidentale. On vit de rites, de gestes, et de c�r�monies myst�rieuses.
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-��La pierre des fausses doctrines. J�sus ne serait pas vraiment vivant, si ce n�est dans l�esprit des disciples, mais pas
corporellement !
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-��La pierre des pr�occupations terrestres, on d�sire toujours plus de modernisme et de confort, des facilit�s, nous sommes dans une soci�t� de consommation, toujours besoin de quelque chose, absorb�s par les choses d�ici-bas, par l�int�r�t personnel...
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- La pierre du p�ch� au fond du c�ur de l�homme, de la r�volte, en un mot l�orgueil, qui rend nul les effets de cette r�surrection dans la vie...
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3) Une grande Mission :
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�J�sus s��tant approch� leur dit��.�
Nous devons ressentir Sa Pr�sence, pour entendre (comprendre) sa Parole. Il leur dit � eux et � tous ceux qui veulent bien l�entendre:
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- Tout pouvoir m�a �t� donn� : (Source de notre autorit�)�
Voil� l��tendue de son autorit� . Le ciel et la terre. L�Univers entier. Il n�est rien ni personne qu�Il ne puisse atteindre. Pour Lui, plus de��limites, ni��de fronti�res . Il a��Autorit� sur les c�urs et sur les corps. Il est plus fort que celui qui est dans ce monde. Cette autorit� est maintenant d�l�gu�e � ceux qui ob�issent � Son Mandat.
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- Toutes les nations : (Universalit� de notre mission)�
C�est une vision mondiale de l��vang�lisation. Il veut l�expansion de son Eglise. Une grande vision. Donc un esprit d�entreprise, de conqu�tes. M�me l� o� les gens sont durs, ce qui fera d�autant mieux �clater sa Gloire ! C�est un Salut universel. Une seule �glise, pas celle des Gitans, des Espagnols, bient�t des Maghr�bins, o� de telle ou telle communaut� Un salut universel.
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- Tout ce que Je vous ai prescrit : (Envergure de notre enseignement)�
L�enseignement est capital. Nous continuons � nous instruire dans les voies du Ma�tre. Enseigner, chez les h�breux, c�est : �
�Dresser�, discipline qui devient plaisir, (Os�e10/11.)
�Exercer�, donner des habitudes, (J�r�mie 2/33.)
�Initier�, r�v�ler unsecret, (Cantiques des Cantiques 8/2.)
�Dompter�, rendre docile, ob�issance volontaire, apprivoiser, (J�r�mie 31/18.)
�Indiquer�, (Exode15/25.)
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Ce que l�on est parle plus fort que ce que l�on dit. L9enseignement qui ne produit pas l�ob�issance est st�rile et inutile.
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�Celui qui croit au Fils a la vie� celui qui n�ob�it pas au Fils, la col�re de Dieu demeure sur lui !� (Darby.)
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- Je Suis avec vous Tous les jours jusqu�� la fin du monde :��(Pr�sence Eternelle du Ma�tre)
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C�est dans le cadre le l��vang�lisation qu�Il est avec nous. Entourons-nous de cette promesse. A R�phidim, Mo�se a frapp� le rocher d�Horeb, et on a appel� ce lieu: �Massa & M�riba� = �Tentation et contestation�, �L�Eternel est-il au milieu de nous o� n�y-est-Il pas ?� .
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C�est ce qui arrive dans les �glises qui refusent d��vang�liser, et c�est ainsi qu�elles perdent sa Pr�sence. Nous ne serons jamais seuls quand nous �vang�liserons� faisons le continuellement, saPr�sence ne fera pas d�faut.
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